Le cerveau et le (dys)fonctionnement sexuel

De nouvelles études suggèrent que la fonction sexuelle féminine saine repose sur l’interaction du corps et du cerveau. Diverses voies cérébrales et éléments neurochimiques associés sont impliqués dans les récompenses associées à l’activité sexuelle, de même que l’excitation et l’inhibition des réponses sexuelles.

Le dysfonctionnement sexuel le plus fréquemment rapporté dans une étude américaine de grande envergure est un faible désir féminin s’accompagnant d’une détresse

L’étude PRESIDE, l’une des plus grandes menées à ce jour sur le dysfonctionnement sexuel féminin, a été menée en vue de mieux comprendre les problèmes sexuels signalés par les femmes, tels qu’un faible désir sexuel, une faible excitation et/ou des difficultés liées à l’orgasme.

La culture et l’âge contribuent au dysfonctionnement sexuel et à la détresse des femmes

De nombreuses études ont montré qu’avec l’âge, les femmes sont plus susceptibles de présenter un désir sexuel moindre. Cependant, la proportion de femmes présentant à la fois un faible désir sexuel et une détresse associée (ou trouble du désir sexuel hypoactif, ou TDSH) ne change pas avec l’âge, selon les recherches. Pourquoi cela ?